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Mes articles
notre sexualité en prenait aussi un sacré coup : j’avais l’impression que mon corps était sali d’avance.
Je porte les mêmes séquelles qu’une personne qui a été abusé sexuellement sauf que moi, c’est le porno
A chaque fois que mon mari retournait en regarder, je rageais, je me sentais trahie, abusée, nulle, trompée. Je le voyait faible et immature.
Je déteste le porno pour tout ce qu’il a détruit en moi de vrai besoin de relation humaine et de faux remède à l’isolation.
Quand nous faisons l’amour, nous sommes plus souvent dans notre mental que dans notre corps…
J’ai vu des scènes érotiques trop tôt. Personne ne s’en rendait compte. Le porno a clairement pollué mon rapport à la sexualité
Avec Sex Education, le géant du streaming américain a pris en charge ce que nous avons collectivement délaissé, par lâcheté.
J’ai découvert sans le chercher que mon mari consommait de la pornographie. Cela a été un choc rude. Je n’arrive plus à me laisser aller.
J’ai vu une première scène porno quand j’avais 13 ou 14 ans. Et depuis, ça ne m’a jamais quitté. Aujourd’hui, j’en regarde tous les jours ou presque.
“Hé, psst… c’est quoi ton numéro de portable ma jolie?
A l’heure où la Belgique étend l’euthanasie pour les mineurs
Dans mes dîners new yorkais du week-end, on parle aussi