Dans mon cabinet, je reçois des femmes qui sont victimes de ce tabou. La vérité, comme le dit très bien Jessica Harris, c’est qu’elles sont généralement issues de milieux religieux. Parler de la sexualité féminine continue de mettre mal à l’aise… Certes, on leur parle du cycle féminin, de la fécondité, de la chasteté, du mariage et de l’amour, bien sûr. Mais en ce qui concerne les pulsions, le plaisir sexuel, les fantasmes ou la masturbation, c’est le silence complet! Pourquoi? A vrai dire, je ne sais pas bien… Et vous?
T.