Avant, je tendais la joue gauche.
Maintenant, j’attaquerai toute personne qui diffuse des informations mensongères à mon sujet.
Faites passer le mot.
La ligne rouge a encore une fois été franchie cette semaine par des professeurs cherchant à censurer mes interventions auprès des lycéens.
J’adore le combat d’idées, mais j’ai besoin d’estimer intellectuellement mes adversaires.
Or, depuis deux ans, je fais face à des professeurs menteurs et lâches, des ignares incapables d’ouvrir un livre (j’en ai écrit cinq !) ou de regarder mes vidéos (j’en ai des centaines), des paresseux qui se renseignent sur Wikipédia, des faibles et fuyants qui ne viennent ni m’écouter ni me parler, des idiots qui font des raccourcis (si elle a parlé dans cette émission, c’est qu’elle pense comme l’animateur), etc. …
Ils sont ultra minoritaires dans les établissements scolaires, la majorité des professeurs sont merveilleux, mais ils savent faire pression sur la direction, qui parfois cède : « On va annuler votre venue, Thérèse. On sait que les jeunes adorent vos interventions, mais on ne veut pas faire de vagues. »
Moi, j’ai des messages d’utilité publique à faire passer aux jeunes.
Je leur parle du consentement.
Je leur parle de comment construire des relations saines.
Je leur parle des dangers de la pornographie.
Je leur parle de liberté.
Je leur parle de joie.
Je leur parle d’amour.
Je ne laisserai plus personne m’empêcher d’accomplir ma mission.
Alors que les choses soient bien claires :
Si quelqu’un vous parle de mes convictions politiques, prétend que je serais proche d’un parti politique ou que mes activités seraient financées par des réseaux orientés politiquement, sachez que c’est absolument faux.
Je n’ai jamais pris position politiquement, je n’ai jamais été en lien avec un parti politique de près ou de loin, je ne reçois aucun financement.
Je suis Belge, je ne vote pas en France.
Je n’ai jamais manifesté de ma vie.
Le seul rassemblement où je suis allée, j’avais 10 ans, c’était la marche Blanche en Belgique en mémoire de Julie et Mélissa les victimes du pédocriminel Marc Dutroux. C’est tout.
Critiquez mon absence totale d’engagement politique et vous auriez raison de le faire, mais ne m’inventez pas des convictions que je n’ai pas.
Si quelqu’un vous dit que je suis :
– contre la contraception
– contre l’avortement
– contre l’homosexualité
– contre le sexe avant le mariage
– contre le divorce
– contre le travail des femmes
– etc.
Sachez que c’est absolument faux. Il vous suffira d’ouvrir un de mes livres pour vous en apercevoir.
Par exemple, dans Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque), publié chez Albin Michel en 2016, je parle de tous ces sujets.
En revanche, je suis contre le porno, et vous pouvez lire ma pensée dans mon dernier livre Tout le monde en regarde (ou presque), ainsi que contre le viol (y compris le viol conjugal).
Il vous suffit de regarder mes très nombreuses interviews à ce sujet où j’explique par exemple qu’il ne faut pas confondre consentement sexuel et envie sexuelle.
Et pour ceux qui se moquent de ma vie personnelle : « Elle parle d’amour alors qu’elle a divorcé »,
le karma se chargera de vous.
Je suis une femme intègre, extrêmement libre et j’assume tout ce que j’ai fait et j’ai dit.
Je ne supporte pas le mensonge. C’est tout.
Thérèse