J’ai 20 ans, je m’appelle Y., et je souhaite partager mon témoignage. Ce concept permet non seulement à moi, mais aussi à d’autres, de mettre en perspective notre quotidien. C’est une initiative de bon augure, ouvrant la voie à la réflexion et à la recherche.

Je me suis rendu compte que ma consommation intense de pornographie était devenue une véritable “drogue” dans ma vie.

Durant cette période, je me retrouvais à en regarder tous les jours, avec toujours dans l’optique de visionner des contenus de plus en plus extrêmes pour ressentir le même niveau d’excitation. C’était un cercle vicieux difficile à rompre.

Les réseaux sociaux ont joué un rôle nuisible dans ce combat. La quête constante d’excitation à travers des contenus suggestifs et la présence fréquente de femmes séduisantes sur ces plateformes ont contribué à intensifier ma dépendance. La facilité d’accès à ces images rendait difficile le maintien d’une discipline saine.

Cette fréquence élevée amplifiait ma dépendance, impactant non seulement ma vie quotidienne, mais aussi ma santé mentale. L’isolement social et le manque d’énergie ont rendu la situation encore plus préoccupante.

La réalité de ma situation m’a poussé à chercher activement de l’aide. Le chemin vers la guérison implique maintenant une remise en question, non seulement de la gestion de ma dépendance et de l’accomplissement d’une activité physique, mais aussi de me focaliser sur l’aspect spirituel en tant que croyant. Chaque jour représente un pas concret vers la reprise d’un équilibre plus sain.

Y., 20 ans.