« Si environ 35 % du trafic sur Internet est consacré à des visionnages pornographiques, cela signifie rien de moins que l’impact de notre appétit sexuel sur la planète Terre est de 150 000 millions de tonnes de dioxyde de carbone émises dans l’atmosphère chaque année, soit entre un cinquième et un tier des émissions de gaz à effet de serre dues au trafic aérien » alerte le docteur en neurosciences Sébastien Bohler dans son livre Le bug humain.
Taper sur les grandes industries de l’agroalimentaire et de la cosmétique, c’est dans l’ère du temps.
Mais ouvrir les yeux et regarder en face les conséquences sur l’environnement des acquis de la libération sexuelle – on pourrait citer encore en exemple la contraception hormonale – là, il n’y a plus grand monde…
Pourtant, une chose est certaine: le modèle sexuel prôné depuis la révolution sexuelle n’est pas durable. Il n’est pas écologique! Il n’est pas respectueux de notre corps, pas respectueux de la nature.
C’est ce que je vous explique dans Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour?, Albin Michel, 2020.
T.