La directive de l’Éducation Nationale préconise 3 interventions pour l’Éducation Affective, Relationnelle et Sexuelles (EARS), par an et par niveau scolaire, de la sixième à la terminale.
Ces séances sont-elles dispensées dans votre établissement scolaire ?
Depuis vingt ans, je donne des conférences chaque semaine auprès des collégiens et lycéens, en France et à l’étranger, dans le public et le privé.
Quand est-ce que je viens chez vous ?
L’éducation au consentement, la prévention contre la pornographie, les langages de l’amour, les sentiments amoureux, les relations de couples à l’adolescence et les relations avec les parents, sont les principaux sujets abordés.
Lors de ces grandes conférences, je ne parle pas aux élèves de contraception, d’avortement et des IST-MST. Ces sujets étant normalement abordés dans les cours de SVT.
Si vous avez une demande sur une problématique spécifique, je peux bien évidemment y répondre.
Vos paroles ont suscité en moi une réelle prise de conscience. Merci d'être venue nous parler !
Je me déplace en province pour deux interventions minimum : une le matin et une autre l’après-midi. Sur la pause, un déjeuner de travail peut être organisé avec celles et ceux qui s’intéressent au sujet de l’éducation affective, relationnelle et sexuelle au sein du lycée.
Si l’établissement se situe en région parisienne, je peux me déplacer pour une seule conférence sur la journée.
Votre établissement est à l’étranger, imaginons ensemble comment réaliser ce projet !
Une intervention se déroule sur deux heures de cours.
Avec des mots toujours respectueux, simples, justes et accessibles à tou(te)s, Thérèse a su leur dire ce que nos élèves avaient besoin d'entendre. L'intervention n'a choqué, discriminé et accusé personne.
Thérèse sait s’adapter aux différents publics et aborde de nombreux sujets essentiels avec professionnalisme, discernement et charisme. Nous lui faisons confiance depuis plusieurs années : jeunes et adultes y trouvent leur compte.
Je réponds sur les réseaux sociaux aux questions sur l’amour et la sexualité de mes enfants âgés de 19, 17 et 13 ans et de leurs copains. C’est avec les mêmes mots que je parle aux jeunes lors de mes interventions !
Un grand merci pour cette conférence toujours aussi enrichissante et dynamique. Nous ne manquerons pas de vous redemander pour l’année prochaine.
Je donne également des conférences à destination des professeurs qui visent à les sensibiliser et à les former sur les enjeux fondamentaux de l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle.
Au cours de ces conférences, je présente le nouveau programme de l’éducation nationale, qui met l’accent sur le respect de soi, des autres et la compréhension des relations. Ce programme suscite beaucoup d’inquiétude à la fois sur le contenu mais aussi sur la mise en oeuvre. L’objectif est donc d’apaiser les tensions et réfléchir à la façon dont il peut s’appliquer au sein de l’établissement scolaire.
Je m’engage également à répondre à toutes les questions des enseignants, afin de les aider à se sentir préparés et confiants dans leur rôle d’éducateurs. En investissant dans la formation des professeurs, nous contribuons ensemble à construire un avenir où chaque élève peut s’épanouir en toute sérénité.
Depuis la sortie de mon dernier livre, Tout le monde en regarde (ou presque) qui alerte sur les dangers de la consommation de pornographie, je fais l’objet d’attaques sur Internet qui visent à me discréditer. Ma page Wikipédia est rédigée de façon à me faire passer pour une conservatrice religieuse et une extrémiste de droite, anti contraception et anti IVG ce que je ne suis absolument pas. Il n’y a qu’à lire mes livres et écouter mes interviews. Mais certains professeurs se renseignent sur moi via Wikipédia et créent la polémique au sein de l’établissement scolaire. Je réponds à chacune des critiques dans une lettre que vous pouvez me demander et diffuser. Dans l’émission La Fabrique Du Mensonge sur France 5 consacrée à l’éducation sexuelle à l’école, je suis revenue sur les pratiques de certains professeurs pour empêcher l’intervention de se faire. Une situation inadmissible parce qu’infondée.
Pour répondre à la directive de l’Éducation Nationale (3 interventions par un et par niveau scolaire) et aux besoins réels des adolescents d’aujourd’hui, je vous ai concocté une véritable boîte à outils pédagogiques pour animer des ateliers, transmise lors de journées de formation.
Cette formation est proposée à PARIS sur le temps d’un week-end mais elle peut également être dispensée dans votre ville (10 inscriptions minimum).
Pour ne rater aucune nouvelle proposition (et de nouvelles arrivent chaque semaine), inscrivez-vous à la newsletter !
© Thérèse Hargot
