Des centaines de milliers de lecteurs s’apprêtent à lire des scènes explicites de zoophilie et de « gang bang », entre autres, dans l’indifférence générale et sans une quelconque interdiction pour les mineurs, dont on sait qu’ils sont habitués à bien pis, avec l’image en plus. C’est du Houellebecq, dira-t-on. Et Houellebecq, c’est la culture française. Et la culture française, c’est pornographique. Voilà tout. L’écriture que nous inflige Michel Houellebecq, il est vrai, n’a plus rien de subversif. Absolument rien.