C’est le sujet de ma prochaine chronique pour French Morning que j’écris aujourd’hui.

D’accord, je l’avoue, j’ai changé… Lors de ma première année à New York, je refusais catégoriquement d’explorer ce genre de question. Surtout ne pas faire de clichés; surtout ne pas faire comme ces français qui  de manière compulsive comparent les différences, critiquent les américains et regrettent le pays dans lequel ils ont décidé de ne pas vivre.

La seconde année, mon anglais s’améliorant (péniblement), j’ai commencé à comprendre qu’on avait pas grandi tout à fait pareil…

La troisième année, j’ai du me résigner: il y a un fossé culturel qui nous sépare. On ne vit pas le mariage, la sexualité ou la parentalité de la même manière. C’est un fait. Pour cette nouvelle année, j’aimerais davantage l’examiner.

La sexualité est quelque chose d’éminemment culturelle. Soumettons donc américaines et françaises à un crash test.  Non pas pour dénigrer l’une ou l’autre, tomber dans une caricature ou vous recommander le meilleur plan messieurs. Derrière cette démarche, il s’agit pour moi de saisir le sens donné à la sexualité, les attentes qui se cachent derrière de part et d’autre, dans l’espoir de prendre ce qu’il y a de bon de chaque côté de l’Atlantique et d’aider certains à franchir le fossé sans tomber.

Un témoignage, un avis, un pronostique? Ecrivez-moi rapidement pour me le partager.

Pour un avant-gôut du style, lire ma dernière chronique sur French Morning: Femme recherche fantasme

A plus,

T.

LISEZ MA CHRONIQUE POUR FRENCH MORNING EN CLIQUANT ICI OU SUR LE SITE DE FRENCH MORNING

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=b5vXxxmFRtk]